TEXTES - Sophie

 

Histoire d'A Livre II

(Titre provisoire)

 

 

Par Fred Pody.

IV

Fête des Sylphides

 

Samedi 22 Septembre au soir.

Ont a réussi. Le seul groupe à avoir réussi cette épreuve du "Jardin des Sylphides".

Ont ne connaîtra le classement des groupes et le classement individuelle que demain, juste avant la fête des Sylphides.

Mais dès maintenant, nous savons, que nous sommes les seuls à avoir terminé cette épreuve.

Toute l'école était réunie dans la grande salle de bal. Les portes de la salle donnant sur la terrasse, étaient grande ouverte.

Mademoiselle Florence, la directrice nous accueilli à l'entrée de la salle. Les écolières formaient un grand cercle en arrière. L'ambiance, n'était pas des plus joyeuse, nous avions gagnés cette épreuve, les seuls à l'avoir terminée.

Devant les écolières, Mesdemoiselles Caroline et Delphine nous attendaient avec de grands sourires.

A gauche et a droite, les surveillantes s'étaient alignées dans un ordre impeccable, sous la direction de l'inflexible Madame la Surveillante Générale.

Ont étaient épuisées, et moi, j'avais honte de me présenter ainsi. Mes amies, portaient de grande robe, qui pouvaient passer pour normale; Bien que Sophie et Solange portaient dessous, une crinoline très spéciale, lourde et rigide, comme une cage de fer.

Mais moi, avec ma crinoline ridiculement courte, indécente et mon maquillage très excessif, je n'osais pas me montrer. Je me tenais en arrière, mais comment rester discret habillée ainsi ?


Mademoiselle Florence, devant toute l'école, nous félicita de notre succès avec chaleur et beaucoup de conviction.

- Vous venez de prouver, qu'une lady élégante, est tout a fait à l'aise, pour se promener dans un jardin d'agrément, et cela malgré ces robes encombrantes, ces corsets, et même ces chaussures... spéciales. Bravos mesdemoiselles. Je vous invite à monter sur l'estrade, que l'école toute entière puisse vous faire honneur, et que vous leurs serviez d'exemple.

Mademoiselle Florence, monta sur l'estrade, suivie de Mesdemoiselles Caroline et Delphine.

Mademoiselle Florence fit les présentations avec une certaine jubilation.

- Mademoiselle Sophie ! Voulez vous monter sur l'estrade, s'il vous plaît.

Sophie s'avança lentement, retenue par sa lourde crinoline. Elle dû la saisir comme elle pouvait pour la remonter un peu en avant, de sorte à pouvoir monter les trois marches de l'estrade.

- Vous voyez, qu'une Lady, peut très bien, se déplacer avec une large crinoline et en ne regardant pas ces pieds en permanence. Voici une belle leçon d'élégance, dans ces déplacements. Mademoiselle Sophie est l'animatrice du groupe MLC, qui porte parfaitement bien son nom aujourd'hui.

Sophie se retourna, avec une grâce une délicatesse surprenante.

- Mademoiselle Gwendoline, pouvez vous nous rejoindre, s'il vous plais.

Gwendoline, avec sa robe, normale, son uniforme de l'école, ne semblait pas avoir subie d'épreuve, pourtant elle était blanche, et se déplaçait avec raideur. Il fallait savoir qu'elle portait un corset particulièrement cruel, et atrocement serré. La montée des trois marches fut plus difficile. Elle dû les monter, en se tournant légèrement de profile, car son corset lui interdisait d'écarter les genoux.

Quant elle nous fit face, ont put se rendre compte, combien sa taille était fine. Véritablement étranglée.

- Bravos Mademoiselle Gwendoline. Pourtant, à votre entrée dans cette école, vous ne vouliez pas entendre parler de corset. Mais je vois que maintenant vous portez un corset très intéressant. Je suis heureuse, que vous acceptiez enfin la nécessité de se serrer fortement la taille, pour devenir une véritable Lady.

Je ne suis pas certaine que Gwendoline apprécie tan, de se serrer aussi fort. Je commençais à redouter que l'on m'appelle, et je restais le plus discret possible dans mon coin.

- Mademoiselle Solange !

Ouf, un dernier répit. Si elle pouvait m'oublier.

- Bravos Mademoiselle Solange, la grande crinoline vous sied parfaitement. Bravos, pour réussir à porter avec autant de grâce, cette grande robe. Encore un effort sur votre tour de taille et vous vous approcherez de la perfection.

- Mesdemoiselles, le groupe MLC a été le seul à terminer cette épreuve. Sachez que le but, n'était pas de la terminer dans tous ces détails. Votre mission, était de me démontrer votre capacité de vous déplacer, dans le Jardin des Sylphides, ceci avec élégance. Les quelques obstacles que vous avez pu franchir, étaient destinés à tester votre comportement de future Lady, dans diverses situations. Je ne félicite pas le groupe LSP, qui a lamentablement échoué. Aucune, n'a franchie le petit pont. Deux d'entre elles sont tombées dans l'étang. Lamentable ! Heureusement, d'autre groupes ont put s'en sortir avec les honneurs. Bravos donc aux groupes C4D et ADI qui ont réussis la partie la plus importante, se déplacer avec grâce, malgré les nombreux obstacles mis sur leur chemin.

J'ai l'impression qu'elle m'a oubliée.

- Ceci dit, c'est bien le groupe MLC qui est le seul groupe à avoir terminé l'épreuve. Ceci grâce au sacrifice de l'une d'entre elle. Un sacrifice un peu honteux, que personnellement, je n'aurais jamais fait. Il est parfois des choses que l'on vous demande, et qu'il est honorable de refuser fermement.

Mais... de quoi parle t-elle ?

- Mademoiselle A, montez sur l'estrade !

Ho non.

Je m'approchais en équilibre instable sur mes talons de 24cm, personne ne portait de telles chaussures. J'avançais comme je pouvais, en sachant que toute l'école voyait la minuscule crinoline qui ne cachait pratiquement rien. J'avançais tan bien que mal, montrant mes fesses à toute l'école. Chaque minuscule pas, faisait bouger la tige, prolongée du godemiché. Toute l'école, voyait cette tige, attachée à mes chevilles, et qui montait entre mes fesses, dans mes fesses. Quelle honte de me présenter ainsi. La montée des marches fut horrible. Je ne pus m'empêcher de pousser des plaintes à chaque fois que cet énorme godemiché entrait plus profondément en moi. Il y eu des exclamations, d'autant plus indignées, que tous le monde commençaient à comprendre que cette tige, me sodomisait. Qu'à chaque marche, elle s'enfonçait plus profondément.

Quant je fis face à toute l'école sur l'estrade, j'étais rouge de honte. L'effort et la pénétration douloureuse, me faisaient transpirer. Je ne pouvais pas regarder qui que ce soi, et je gardais la tête baissée. J'entendais les réflexions méprisantes ou moqueuses. "Comment fait-elle pour marcher ainsi ?", "Comme c'est indécent de montrer ses jambes et pire, ses fesses à tous le monde.", "C'est une catin, une fille dépravée !", "Et cette tige métallique, elle semble bien s'enfoncer en elle.", "Oui, c'est honteux de se montrer ainsi, ont dirait qu'elle se l'est enfoncée derrière plutôt que devant.", "Devant, elle jouirait tous les dix pas."

Mademoiselle Florence continuait son discourt, ces explications qui me faisaient tellement honte.

- Vous avez toutes vues, "l'équipement" permettant de monter voir les numéros sur les colonnes. Vous avez toutes put voir l'énorme godemiché qui équipait la scelle. Vous avez toutes refusées de vous avilir. Toutes, sauf une, qui a accepté de se faire violer son intimité. Seul Mademoiselle "A", a acceptée de s'introduire cette chose monstrueuse en elle. Et même plus si c'est possible, elle l'a gardé, elle porte en ce moment ce godemiché profondément enfoncé. Puisqu'elle ne m'a pas demandée de la soulager, je vais l'exposer au milieux de la salle, empalée sur son godemiché qu'elle semble tan aimer.

Mais je ne voulais pas... Ho non, elle ne vas pas m'exposer encore plus.

- Madame la Surveillante Générale ! Fixez donc cette catin de Mademoiselle "A" sur un support, bien en vue. Elle gardera son cher godemiché, toute la soirée. Ainsi, mesdemoiselles, vous pourrez toutes contempler la déchéance de cette fille impudique et jouisseuse.

Quatre surveillantes, s'approchèrent de moi. Elles me firent basculer en arrière pour me coucher plus ou moins sur le dos. Ma crinoline de fer, me tenait éloignée de force du sol. Une surveillante, fixa quelque chose, sur mon support. Je ressentais le moindre mouvement qu'elle imprimait à la tige de métal, dans mes fesses, mon anus, profondément en moi...

Avec ma crinoline, je ne pouvais rien voir de ce qu'elles faisaient, Je ressentais au plus profond de moi, qu'elle tripotait la tige de métal.

Elles me portèrent sur le dos, au centre de la salle, et là, elle me redressait à la verticale, mais j'étais plus haut, beaucoup plus haut. Perchée au sommet de mon support, mes pieds à plus d'un mètre du sol. Je retrouvais les sensations au somment de l'élévateur, assise sur une scelle étroite, empalée, les pieds dans le vide, le godemiché, s'enfonçant douloureusement et très profondément en moi.

J'étais exposée au centre, en hauteur, tout le monde pouvant regarder sous mes jupons si courts. Regarder comment cet énorme gode, me dilatait, me clouait et m'humiliait tan.

J'avais permis à mon groupe de gagner, mais à quel prix.


Mademoiselle Florence, ouvrit le bal, avec Sophie. Une valse délicieuse, enlevée. Comme elles étaient belles. Sophie avait sûrement pu enlever sa crinoline de fer, et la remplacer par une crinoline plus légère, car les mouvements de sa robe étaient fluides, et gracieux. Elles tournèrent autour de moi, me grisant de leur danse, me frôlant et m'affolant de désir.

Cette horrible chose en moi, et toutes ces femmes si belles dansant si près de moi, je sentais mon sexe durcir, se tendre, douloureusement bridé par ma ceinture de chasteté. Tendu, mais forcé entre mes jambes, horriblement tiré en arrière. Mon impuissance était totale...

Solange invita Gwendoline. La douce Solange et Gwendoline la rebelle, si serrée dans son impitoyable corset. Comment faisait-elle pour danser ? Solange soutenait Gwendoline, qui me semblait si frêle, pouvant s'écrouler à chaque instant.

Bientôt, ce fut un tourbillon autour de moi. J'aurais tan aimer danser avec Sophie... Ou avec Solange.

La soirée fut sûrement merveilleuse pour Sophie, Solange et Gwendoline. Je voyais beaucoup de personne les féliciter, mais souvent avec des regards amusés dans ma direction.

Les couples c'étaient formés, délicieuse élégance des robes de toutes couleurs, si délicates, souvent très sophistiquées. A ma honte, les couples, dansaient, en s'approchant de moi, me frôlant, et regardants sous mes jupons. Cherchant à apercevoir, ce qui s'enfonçait en moi, ce qui m'écartelait l'anus, ce qui m'humiliait tan.

La scelle me faisait mal, je ne pouvais pas bouger. Et cette chose, qui m'envahissait les intestins, qui me remplissait ignoblement. J'avais des contractions douloureuses de mon anus, mais aussi de mes intestins. Une sensation permanente de devoir me soulager sans pouvoir le faire. Et cette exposition ainsi au centre de la salle de bal, Exposée comme un objet décoratif, un objet de dérision.

Le bal ne dura pas très tard. Demain matin, il y aura une remise des prix, et certaines élèves nous quitteront, d'autre entrerons suivre ces cours si particuliers.

Toutes les élèves, rejoignirent leur chambre, pour se reposer, dans la perspective du lendemain.

Ce n'est que quant la salle fut vide, que les quatre surveillantes, vinrent me libérer.

Elles m'emmenèrent de force, me portant car j'étais d'une faiblesse extrême. Elles n'avaient pas pris les escaliers, mais le monte-charge de service. Je fus mise sur mes pieds, car ce monte-charge n'était pas très grand. Sur mes pieds, en fait sur le sommet de mes talons, sur la pointe de mes pieds. Ma mini-crinoline entrait difficilement dans cet espace réduit. Quant ont sorti du monte charge, je ne reconnaissais pas cet endroits. J'étais dans une salle mansardée, probablement à l'étage du personnel, sous les toits. Ont me souleva et elles m'emmenèrent dans une salle, remplie de lits spéciaux, comme le mien, comme celui qui m'immobilisait chaque nuit, qui me tendait le cous, et qui me cambrait de force mes pieds.

Ont m'enleva mon grand col de dentelle et enfin ma crinoline de fer. Cette dernière demanda beaucoup de temps et d'effort aux quatre surveillantes, tan les écrous qui la fermaient avaient étés fortement serrés.

Enfin, cette ferraille fut enlevée, quel soulagement.

Elle s'occupèrent enfin de ma scelle, et de mon atroce godemiché. Dans un premier temps, elles démontèrent la tige verticale, et elles libérèrent mes chevilles.

Ensuite, une surveillante apporta un seau hygiénique, qu'elle plaça derrière moi, avant de m'enlever mon énorme godemiché.

- Baisse toi !

Je me baissais comme je pouvais, autant que mon corset me le permettait.

Je sentais que l'on tirait sur mon godemiché. Mon anus dû se dilater douloureusement pour laisser passer la partie la plus enflée. Ce fut douloureux, comme une brûlure. Elle le sorti lentement, cela me soulageait et me brûlait l'anus. Même quant l'anneau de mon anus se referma, il restait douloureux, à force d'avoir été dilaté si longtemps.

J'avais la sensation que l'on m'avait vidé, mes intestins gargouillaient en reprenant progressivement leur place, en comblant le vide laissé par l'énorme gode.

Le plus humiliant arriva sans que je m'y attende. Je... ho non... je ... déféquais brutalement, sans pouvoir m'arrêter, devant les quatre surveillantes qui se moquaient de moi, qui m'insultaient, me traitait de porc. Mon anus avait été si longtemps dilaté, si fortement écartelé, que je ne pouvais pas me retenir. Je m'assis rapidement sur le seau hygiénique sous les quolibets des surveillantes.

La soirée exposée comme une prostituée, et maintenant cette atroce humiliation. Je n'en peux plus, je deviens fou ou folle, je ne sais plus.

Ont me déshabilla complètement, suspendue à un trapèze, comme dans ma chambre. Lavée. Talquée, pour le corset de nuit. Et enfin enfermée, boulonnée, étirée et cambrée dans un lit d'entraînement démentiel.

Ont me laissa là, au milieux de cette salle, abandonnée. Je n'avais sans doute plus droit à une chambre, juste une salle de stockage. La lumière fut éteinte, il n'y avait pas de fenêtre. Le noir complet. Que va t'ont faire de moi...

J'aurais tan aimé rester avec Sophie, Solange et Gwendoline. Comme elles vont me manquer. J'étais pourtant prête à beaucoup de sacrifice pour rester auprès d'elles.

Demain, la plupart des élèves partiront, après la remise des prix. Demain je ne sais pas ou j'irais, ni comment. Demain, sans doute la fin d'une histoire étrange.

 

A suivre...

 

 

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(Histoire parallèle) Souvenir de Sophie, Livre 3, Chapitre IV

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